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La Conclusion Du Contrat International

La conclusion du contrat international

La mondialisation, les délocalisations, ont créé de nouvelles donnes, de nouvelles problématiques et de nouveaux risques : Où s’implanter ? Avec quel type de structure ? Pour quel coût (RH, impôts, taxes) ? Peut être copié ? Risque de non-respect des obligations contractuelles ?

  • La langue : Choisissez la langue du contrat (si celui-ci est rédigé en deux langues, précisez celle qui prévaut) .
  • La capacité : vérifier que chaque signataire a une autorisation d’engager son entreprise.
  • Le contexte : expliquez pourquoi nous signons ce contrat et quel en est le but.
  • La force majeure : insérer les clauses de suspension, d’extension ou d’augmentation des tarifs ETC. Il convient donc dans ce cas de faire appel à un professionnel, pour vous dire ce que cela change en termes de garantie, de contraintes et de risques.
  • Les différentes législations d’un pays à l’autre compliquent la détermination de la loi applicable au contrat et à la juridiction compétente en cas de litige.

Comment faire ?

  • Notez tout ce qui a été convenu,
  • Anticiper les difficultés qui peuvent survenir, pour éviter les conflits (perte d’énergie et coûts),
  • Anticiper l’évolution possible du contrat (nouvelles technologies, évolution de la production, situation internationale instable.

En outre, diverses conventions internationales peuvent interférer au niveau de votre contrat et entraîner des incompatibilités :

  • la Convention de La Haye de 1955 sur la vente de biens meubles à l’international).
  • La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE),.
  • La Convention de La Haye de 1978 sur les contrats d’intermédiaire et de représentation. Les règlements de la CCI (RUU, Incoterms),.
  • La Convention de Rome de 1980 sur les obligations contractuelles, etc.

Il est donc conseillé dans ce cas de faire appel à un professionnel, pour vous dire ce que cela change en termes de garantie, de contraintes et de risques.

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