
Commerce international: Risque de change
Commerce international: Risque de change
Dans ce cas, l’exemple du GIAT (aujourd’hui Nexter). Après avoir signé un contrat sur la vente de matériel militaire (Chars) aux Emirats Arabes Unis à hauteur de 21 milliards de francs à l’époque.
Les erreurs des gestionnaires du contrat a précipité ce dernier dans un gouffre financier,
Comme bien d’autres contrats d’armement, celui-ci était libellé en dollars. Mais, selon l’actuelle direction, le Giat n’avait pas pris une couverture suffisante sur le marché des changes : le groupe y a laissé quelque 2,6 milliards de francs.
ou de vendre (put) un à un prix fixé à l’avance durant une période donnée ou à une date fixe.
On utilise ces options pour spéculer sur le prix d’une devise à plus ou moins longue échéance, ou tout au contraire pour essayer de « bloquer » le cours futur d’une devise.
Toute bonne gestion du risque de change commence par :
- A) Ne pas spéculer sur les taux de change de devises,
- B) Bloquer au plus vite un cours stable ou un cours moyen pondéré si le contrat s’étale sur plusieurs années avec des versements différents à différents stades du projet
Toute bonne gestion de clause de garantie commence par :
- A) Mettre une date butoir (jour année) à une garantie (ici d’amélioration technique),
- B) Mettre un évènement butoir à cette garantie,
Les experts de Businexport, vous aideront à éviter ce genre d’erreurs, préjudiciables pour votre Entreprise et pourront même selon les cas gagner des points de marge par une parfaite maîtrise des techniques du commerce International.
Source des données https://www.liberation.fr/societe/2001/01/18/contrat-piege-pour-les-chars-leclerc_351375